FAQ
Questions :
Question / Réponse

Non il est très important de conserver la compacité de la motte et ainsi l'adhérence des racines avec la terre qui l'entoure.
Nous avons pris grand soin pour confectionner une motte et la livrer en bon état, vous devez la planter en la conservant intègre. L'emballage en toile de jute et grillage spécial recuit sont biodégradables.
Vous pouvez seulement à la fin du rebouchage du trou de plantation découper avec une pince métallique la partie supérieure du grillage qui pourrait ensuite être inesthétique et vous gêner pour le binage futur.
Question / Réponse
Question / Réponse
L'âge des arbres que nous commercialisons varie selon leur vitesse de croissance.
Le métier de pépiniériste est multiple. Nos arbres ont été multipliés par un premier pépiniériste (semés ou bouturés ou greffés) et repiqués. Un second pépiniériste a replanté ces jeunes plants (âgé de 3 ans) et les a cultivés pendant 3 à 5 ans. Durant ces années, certains arbres ont été gréffés au pied ou en tête.
Ensuite nous avons choisi et sélectionné ces arbres pour les planter sur notre site. Nous les cultivons et transplantons pendant 3 à 5 ans minimum avant de les commercialiser dans les premières tailles et 6 à 20 ans pour les sujets de très grandes tailles.
En moyenne les arbres et conifères que nous commercialisons sont âgés de 12 à 15 ans.
Question / Réponse

Nous sommes de véritables producteurs d'arbres. Nous ne réalisons pas d'achat revente. Nous ne proposons à nos clients que des végétaux rustiques aptes à bien se développer dans la région.
Même si ces arbres d'origine exotiques sont de plus en plus plantés en région parisienne ces dernières années, ils engendrent de très nombreuses déceptions.
Certains sont invasifs (Bambous) et posent d'énormes problèmes pour être éliminés ou contenus. Ils peuvent être couteux à l'achat (prix 30 à 50 % + élevé que la moyenne), posent beaucoup de problèmes de reprise (mortalité souvent de 20 à 30 %), demandent beaucoup plus de suivis à la plantation (arrosage), sont sensibles à de nombreux parasites (cochenilles notamment) entrainant des traitements chimiques lourds. Certains (Olivier, Magnolias persistant) poussent ensuite très lentement par manque de chaleur et supportent de plus en plus mal les hivers qui se succèdent. Leur aspect décoratif (feuillage bien vert, persistant, luisant) ne se maintient pas correctement, ce qui donnent en fin de compte des arbres à feuillage ternes et tristes.
En résumé, si dans le choix de ces espèces exotiques on peut comprendre les motivations de retrouver les plantes qui sont synonymes de chaleur et de vacances, de désirer des arbres à feuillage persistant et pour certain concepteur de rechercher une originalité facile à court terme. Il faut savoir garder les pieds sur terre et respecter les règles de bases du végétal (adaptation au contrainte de sol, du climat et de l'environnement), du développement durable (variété produite localement et s'intégrant dans le paysage) et une gestion optimum des budgets espaces verts (rapport qualité/prix et longévité de l'investissement arbres).
Pour toutes ces raisons nous ne pouvons cultiver et vendre ce type d'arbres contraires à notre métier de producteur local de plantes résistantes et durables.
Question / Réponse
Voir réponse à la question précédente.
Question / Réponse
Bien sûr. Vous pouvez planter des conifères type pins, cupressus par exemple et également des arbres marcescents (le feuillage sèche mais reste partiellement sur les branches) comme les Quercus robur, cerris, palustris et Carpinus.
Il faudra choisir un sujet qui correspond à la hauteur et la largeur désirées.
Venez en pépinière pour choisir de grands arbres, à branchage très dense qui pourront vous masquer efficacement de vos voisins ou cacher une vue ou un batiment disgracieux. Ces arbres pourront être de forme palissée pour mieux cacher en hauteur et occuper moins de place dans votre jardin.
Question / Réponse
Toutes les plantes ne sont pas colonisables par les mêmes champignons.
Elles sont concernées soit par des champignons de type endomycorhize soit par des ectomycorhizes. Nous indiquons sur notre catalogue pour chaque plante quel type il faut utiliser : Thuillor ENDO ou Thuillor ECTO.
Question / Réponse
Question / Réponse
Question / Réponse
2 à 3 fois abondamment 150 à 200L.Si il gèle différer à une période plus favorable.
Dès le printemps Mars/ Avril surveiller l'humidité du sol et reprendre les arrosages (150/200 L minimum tous les 10 jours) jusqu'à octobre avec binage de surface ou paillage.
Pour les conifères, dès décembre il faut surveiller l'hulidité du sol et reprendre les arrosages (150/200 L minimum tous les 10 jours) jusqu'à octobre avec binage de surface ou paillage.
Question / Réponse
La période idéale de plantation va de novembre à fin avril. Il est possible de planter avant et après ces dates en fonction des conditions climatiques et de l'état de la végétation. Nous consulter pour connaître la faisabilité.
Afin d'être le plus respectueux des saisons et limiter l'impact environnemental de nos cultures, nos arbres poussent en pleine terre. Pas de productions de végétaux en pots qui sont très consommatrices d'eau (milliers de m3), de plastiques (conteneurs et bâches de cultures) et énergivores (pompage, rempotage).
Vouloir planter en toutes saisons va complètement à l'encontre du développement durable et de l’économie d'eau notamment.
Question / Réponse
Question / Réponse
Question / Réponse
Question / Réponse
Question / Réponse
C'est variable selon la taille de l'arbre. Au minimum 1m/120m et 70/80 cm de profondeur. Il faudrait prévoir 20/30 cm de plus que le périmètre de la motte.
Question / Réponse
Question / Réponse
Oui il est très important de maintenir droit et fixement l'arbre nouvellement planté. Ceci pendant 2 à 3 ans en adaptant régulièrement le serrage du tronc pour éviter les dégâts sur l'écorce.
Question / Réponse
Question / Réponse
Il y a beaucoup de choix : Liquidambar, Liriodendron, Fagus, Fraxinus, Platanus, Salix, Tilia platyphyllos, Pallida, Quercus palustris, rubra, Betula et des conifères : Larix, Taxodium, Metasequoia.
Il faut si le terrain est inondable ou extrêmement humide réaliser les plantations en butte.
Question / Réponse
Question / Réponse
Question / Réponse
Un arbre peut être considéré comme exceptionnel quand il est d'une espèce rare ou d'une forme rare ou d'une taille rare.
Nous recherchons et introduisons chaque année de nouvelles variétés (Chitalpa, Platanus boule, Fagus occidentalis 'Iskander', Liquidambar 'Gumbal', Quercus 'Crimson Spire', Gymnocladus, Cladastris, etc…) .
Nous créons et développons de nouvelles formes sur différentes espèces ( plateau d'ombrage, arcades, nuages , espaliers ….) et bien sur nous vous proposons des arbres et conifères de très grandes tailles âgés de plusieurs dizaines d'années.
Question / Réponse
La taille de la motte est réalisée en fonction de la grandeur de l'arbre ou du conifère. A partir d'une certaine taille d'arbre il est nécessaire de confectionner un bac bois rigide qui constituera un emballage suffisamment solide et proportionné pour les sujets exceptionnels.
Ce bac en bois a beaucoup d'avantages : son fond plat assurant une parfaite stabilité, une caisse très résistante à la manutention et au transport, il contient plus de terre et de racines donc permettra une meilleure reprise de la plante à la plantation.
Afin d'être le plus respectueux du métabolisme végétal lié aux saisons et limiter l'impact environnemental de nos cultures, nos arbres poussent en pleine terre. Pas de productions de végétaux en pots qui sont très consommatrices d'eau (milliers de m3), de plastiques (conteneurs et bâches de cultures) et énergivores (pompage, rempotage).
Question / Réponse
Non, car nous sommes des spécialistes de la culture de végétaux en écoproduction dans des conditions rustiques de sols et de climats.
Donc aucune culture forcée en conteneur, aucune irrigation, aucune serre ou abri chez Thuilleaux ni chez nos fournisseurs de jeunes plants.
Au contraire nos arbres développent leurs racines dans une vraie terre et ainsi reprendront plus aisément dans votre jardin ou votre parc.
Afin d'être le plus respectueux du métabolisme végétal lié aux saisons et limiter l'impact environnemental de nos cultures, nos arbres poussent en pleine terre. Pas de productions de végétaux en pots qui sont très consommatrices d'eau (milliers de m3), de plastiques (conteneurs et bâches de cultures) et énergivores (pompage, rempotage).
Vouloir planter en toutes saisons va complètement à l'encontre du développement durable et de l’économie d'eau notamment.
Question / Réponse
La période de plantation est déterminée par 3 conditions à réunir :
- que les végétaux soient en repos de végétation (les feuilles sont tombées pour les arbres caducs et les persistants sont en dormance hivernale).
- que le sol soit suffisamment humide pour l'arrachage et la plantation.
- éviter les températures journalières sibériennes, inférieures à - 10 - 15°C et/ou trop chaudes avec des vents desséchants.
Les plantations s'échelonnent donc en général de mi octobre à fin avril, en fonction des conditions climatiques du moment. La majorité des plantations s'éffectuent habituellement entre mi-novembre et fin mars. Il est toujours préférable que le végétal se "réveille" chez vous (quand son métabolisme (racines, bourgeons) se remet en action lors des premiers signes du printemps) que chez nous (en pépinière). Cependant tous les ans, nous plantons et transplantatons des milliers d'arbres en mars/avril sans problème de reprise.
Donc en aucun cas, il n'y a bénéfice à attendre la fin de l'hiver pour planter nos arbres et nos conifères. Nos arbres se moquent du froid hivernal saisonnier. Nous les cultivons depuis de longues années en plein champs et ils sont parfaitement adaptés aux températures négatives habituelles. Quand l'arbre est arraché, il peut attendre plusieurs jours avant sa plantation. Si l'attente se prolonge, il faudra simplement veiller à maintenir sa motte humide et la couvrir si les températures sont trop négatives.
Question / Réponse
Il faut différencier 3 choses:
- les plantes adaptées aux conditions locales car sélectionnées et cultivées durant de nombreuses années par un producteur local,
- les plantes d'origine locale (essences indigènes, présentes il y a plusieurs siècles),
- et les plantes 'sauvages' génétiquement locales.
Quand on veut planter un arbre durablement, on doit se poser les questions liées à son esthétique, à son usage, à ses conditions locales de plantation (sols, climat, situation) et à sa qualité de ''fabrication'' (chez le producteur local). Le fait qu'il soit génétiquement local ou qu’il ait été présent il y a plusieurs siècles n’assure en rien de sa réussite actuelle ni, surtout, de son bon développement futur.
Les conditions environnementales (climat, fosse de plantation, pollution…) d'il y a 500 ans n'ont rien de semblables avec l'urbanisation actuelle ou le réchauffement climatique en cours.
On doit bien sûr respecter des règles de cohérence paysagère. Beaucoup d’essences exotiques sont peu pertinentes, souvent inadaptés et certaines se révèlent même invasives. Il faut également être attentif aux modes de production durables et respectueux de l'environnement du producteur.
A noter que la palette végétale ‘indigène’, concernant les arbres, est très pauvre esthétiquement (pas de coloris automnaux, floraison faible, port large, pas de persistant ...).
En conclusion, nous considérons que notre priorité est de choisir et sélectionner en permanence des essences rustiques et durables, les cultiver de nombreuses années localement, en écoproduction, afin de répondre aux différentes situations, contraintes et usages actuels et futurs qu'attendent nos clients.